Des technologies au service des plus modestes d'entre nous
Soucieux et à l'écoute des climatologues qui laissent entendre qu'un cataclysme planétaire pourrait survenir avant dix ans - ce que confirme le dernier rapport du G.I.E.C. 2021 - nous avons fait le choix de garder une vision d’ensemble face aux défis que notre Humanité va devoir relever.
Le constat est alarmiste et il se profilait déjà depuis plus de 60 ans. Face à cet impératif et la nécessité absolue de modifier notre rapport à l’environnement, nous devons procéder avec méthode, douceur et respect.
Très rapidement, nous est apparu un triptyque évident.
En effet, le siècle dernier avec sa mondialisation et sa surconsommation des ressources planétaires nous laisse un héritage amer : pollution atmosphérique, raréfaction de l’eau et destruction de notre « Maison » qui n’en finit pas de brûler en plus d’être empoissonnée jusque dans ses sous-sols.
Les conséquences sont dramatiques et vont encore générer leur lot de victimes tout autour du globe. La montée des océans ainsi que la famine génèreront des migrations de populations inédites, des milliards d’êtres humains seront dans l’obligation de se déplacer pour trouver refuge à l’intérieur des terres des continents. Mais qu’y trouveront-ils ? Des sols pollués et abimés au point de ne plus pouvoir les nourrir en quantité suffisante.
Le déclin de toute civilisation est lié au climat
Déjà, au début de notre ère, la grande Constantinople périclitait, au sommet de sa gloire, suite à un terrible hiver volcanique. En 536, le scribe byzantin Michel le Syrien écrira « le soleil resta ainsi voilé pendant 18 mois, ne laissant par jour que quelques heures d’une lumière fade et sans brillance ». L’archéologue David Keys (dans son ouvrage Catastrophe paru en 2000) évoque la pire éruption volcanique survenue depuis 1500 ans, sur la ceinture de feu du Pacifique, la qualifiant, en équivalence, d’un « hiver nucléaire mondialisé », propageant dans l’atmosphère l’équivalent en poussières de « 2 000 millions de bombes nucléaires telle que celle utilisée sur Hiroshima ».
Cette catastrophe naturelle planétaire aura des répercussions sur les 7 continents : agriculture subissant un refroidissement, notamment par des gels au sol en plein été et d’importantes tombées de neiges en régions aujourd’hui qualifiée de « tropicales », des inondations dévastatrices répertoriées dans le Nord de l’Afrique et dans certaines régions côtières des Amériques - l’absence d’ensoleillement réduisant l’évaporation de l’eau. Ce cataclysme décimera d’importantes populations d’animaux, notamment les poissons qui étaient pêchés pour assurer la survie des foyers de populations installés dans les mêmes régions côtières. La disparition des pâturages va générer le dépérissement des chevaux et du bétail, provoquant de grandes poussées migratoires. Sans ressources alimentaires céréalières, agricoles, halieutiques et pastorales, les peuples du monde entrent en carences alimentaires. Cette profonde détresse va générer une grande instabilité mondiale et des conflits dévastateurs au nom de la survie.
Certaines civilisations disparaîtront quelques années après 536, laissant des territoires complètement vides et qui nécessiteront des siècles avant de connaître une nouvelle colonisation. Selon certains chercheurs, ces famines auraient généré des soulèvements contre les élites au sein de ces peuples qui auraient été incapables de répondre aux besoins de leurs populations… Face à la survie, rare est l’altruisme. Du côté de l’Empire romain, Justinien Ier devra faire face à plusieurs coups d’États menaçant sa capacité à fédérer ses peuples pour faire face à l’adversité, sans compter les invasions des guerriers des peuples du Nord et de l’Ouest qui déferlaient en quête de terres où le climat aurait été plus clément. L’Empereur ne pourra alors assurer la stabilité de l’Empire qu’en payant de lourds tribus en or, à ces envahisseurs, pour éviter les pillages et les massacres.
Quelques années après ces évènements, en 541, apparaîtra la première épidémie recensée de peste bubonique – nommée alors « Peste de Justinien » par les historiens – s’étendant du milieu de l’Afrique jusqu’en Chine en passant par l’Europe. Des puces contaminées auraient été importées au sein de l’Empire suite aux migrations massives de populations. L’hiver volcanique aurait eu un rôle majeur dans la propagation de la bactérie à l’origine de la pandémie…
La population mondiale est alors estimée à 200 millions d’individus, 50 millions de personnes perdront la vie à cause de la Peste de Justinien et son foyer sévira jusqu’en 767 dans le bassin méditerranéen.
Pourquoi évoquer ici ces terribles catastrophes ?
Tout d’abord, pour rappeler ces mots sensés de Karl Marx lorsqu’il évoquait cette idée que « l’Histoire ne se répète pas, elle bégaie ». Les drames du passé se rejouent sans cesse et nos mémoires oublieuses occultent souvent la résilience dont nos ancêtres ont dû faire preuve pour survivre.
Ensuite, parce que l’on comprend aisément ici les schémas des pires cataclysmes :
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crises climatiques mondiales
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crises mondiales de la gestion des ressources
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crises de l’alimentation mondiale
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chao mondial générant souvent des massacres ET apparitions de pandémies mondiales à divers moments de cette équation qui viennent soit mettre le feu aux poudres ou bien diminuer les survivants de toutes les catastrophes précédentes.
Alors quelles « réponses » concrètes pour éviter le pire ?
Pour éviter le pire, il faut anticiper les conséquences de ces drames annoncés :
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Améliorer notre gestion climatique de l’environnement en réduisant massivement la production de CO2 dans l’atmosphère avec des technologies dites « propres ».
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Améliorer la gestion de nos ressources, notamment notre gestion de l’eau et raffiner les sols abimés - par le biais d’une agriculture biologique et raisonnée qui viendra également enrichir en nutriments nos aliments.
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Prévenir ainsi les famines annoncées en rejetant également les modèles de surconsommation outranciers : si des milliards de personnes doivent être déplacés d’ici 2040, comment anticipons-nous le fait qu’il va falloir leur trouver un logement et les nourrir ?
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Garantir un accès à l’énergie à tous : source de conflits à travers le monde, surtout dans les pays en voie de développement, l’accès à l’énergie permettra une progression de nos démocraties. Ces peuples pourront alors consacrer du temps pour structurer leurs sociétés et consacrer leurs énergies à des domaines essentiels de leur avenir comme l’éducation, la santé et le développement agricole.
Et nous, et vous dans tout cela ?
Nous, occidentaux, restons – malgré nos adversités personnelles et parfois quotidiennes – de grands privilégiés sur la Terre du XXIe siècle.
À ce jour, plus de 2,3 milliards d'êtres humains sur notre planète n'ont pas accès à l'eau potable alors que des millions de litres sont gaspillés chaque jour pour remplir des piscines, pour arroser des terrains de golf mais également par des industries énergivores qui utilisent des dizaines de litres d’eau pour ne souvent produire qu'un seul article.
Selon l’O.C.D.E., 3,9 milliards de personnes subiront le stress hydrique d’ici 2040. Plus de la moitié de l’Humanité actuelle ! Ce chiffre est ahurissant, cette situation infiniment préoccupante !! Nous sommes tous concernés, sans exception ! Cette conséquence directe liée au changement climatique va causer d’immenses déplacements de populations.
L’eau potable est en train de devenir l’une des ressources les plus précieuses de notre avenir. La plupart de nos semblables ne s’en rend pas encore compte. Nous devons impérativement améliorer notre gestion de cette précieuse ressource. Chacun doit en prendre la mesure.
De notre côté, nous souhaitons développer deux concepts d’inventions, certes déjà existants, mais que nos chercheurs améliorent sans cesse car leur utilisation reste très consommatrice d'énergie. Notre objectif : améliorer la production et la distribution équitable de l'eau sur la planète, car vous pouvez vivre dans une région où l'eau est abondante mais son acheminement, sa purification et/ou son éventuel stockage peuvent s'avérer très compliqués et très couteux.
Notre objectif second est de démocratiser ces innovations, pour le bien-être des populations d'abord et ensuite, pour la sauvegarde des nappes phréatiques, fortement menacées, suite à leur exploitation outrageuse tant par les hommes que par les industries.
C’est bien pour cela que nous proposons une gamme de condensateurs d’eau atmosphérique pour démocratiser et multiplier la récupération de l’eau par le biais de l’humidité de l’air que nous respirons tous les jours.
Comme nous l’écrivions, l’utilisation des condensateurs d’eau atmosphérique nécessite un grand apport en énergie électrique si nous souhaitons en produire en grande quantité – comme le processus de désalinisation de l’eau de mer également.
Implantée dans les régions Caribéennes à forte pluviométrie, SEDIOR LIMITED a su promouvoir l'énergie hydroélectrique en circuit continu et dans un absolu respect des écosystèmes. C’est pour cela que nous faisons la promotion de centrales de production d’énergie verte qui font également appel à la ressource solaire.
Les particuliers conscients des problématiques énergétiques le savent : rien de mieux que de produire et consommer directement l’énergie que l’on produit. En ce sens, les technologies liées au solaire sont salutaires et réellement économiques. Il en est de même pour les entreprises qui ont compris que la hausse permanente des énergies fossiles risque de faire chuter leurs marges voire même de déstabiliser gravement leur structure. Notre société propose des réponses en ce sens et analyse chaque cas pour fournir des solutions adaptées tout en garantissant les prix les plus bas du marché. Nous proposons donc également des kits solaires en plus de ces centrales à énergie solaire.
Sur la lancée de cette politique énergétique, il nous est apparu évident de plébisciter des véhicules électriques, accessibles et responsables, véritables transports du futur !
Combien de nos contemporains souffrent-ils de mobilité réduite ne serait-ce que pour trouver un emploi ? Peuvent-ils se permettre d’acheter des voitures électriques à plus de 50 000 € !? Assurément pas. Encore dans un souci de démocratisation, nous nous sommes positionnés sur le marché des scooters électriques qui, en réalité, bien qu’ils soient homologués et que nous en fournissions la carte grise, ne nécessitent pas de permis B pour les conduire mais une simple maîtrise du code de la route. Ces véhicules sont parfaitement appropriés pour les jeunes autonomes ou bien les actifs souhaitant réduire leur facture d’essence mensuelle. Ne parlons pas des opportunités qu’offrirait une implantation de ces véhicules dans le parc de mobilité des collectivités locales en matière de soutien pour les demandeurs d’emplois isolés…
L’autonomie de tels véhicules est impressionnante et les coûts de chargement amoindris. N’oublions pas également la pollution sonore, réduite à néant !! En somme, ces véhicules sont un grand « maximum » en ne coûtant q'un « minimum ».
Enfin, comment ne pas évoquer notre souhait de voir chacun acquérir un logement éco-responsable et confortable ?
Vivre au-delà de la survie, s’épanouir et prospérer tant dans sa vie professionnelle que privée, n’est-ce point-là l’objectif du plus grand nombre dans notre monde moderne occidental ?
Nous évoquions le prix exorbitant des véhicules électriques d'aujourd’hui mais qu’en est-il de l’immobilier ?
Là encore, nous avons voulu devenir force de solutions et nous nous sommes rapprochés de plusieurs constructeurs. Nous sommes fiers de pouvoir rendre accessibles des logements équipés des innovations les plus récentes en matière de construction éco-responsable et le tout à des prix accessibles !!
Le rêve de posséder sa maison, chaleureuse et autonome, est à portée de mains et nous serons ravis de vous aider dans la concrétisation de ce beau projet de vie, à chaque étape.
Vous l'aurez compris, le Groupe SEDIOR LIMITED s'engage, à son échelle, à tout mettre en œuvre pour capter et diffuser ces produits fabuleux qui offriront aux populations, de l'énergie verte, de l'eau, de la mobilité à faibles coûts, des logements révolutionnaires, soit un soutien, qui aurait dû être développé depuis de nombreuses années. Nous espérons que, vous aussi, vous puissiez trouver en ces technologies remarquables quelques modestes moyens de faire progresser le monde.