Quels enjeux pour l'amélioration de
la vie de nos enfants ?
Comme nous tentons de le développer sur notre page concernant des technologies au service des plus modestes d’entre nous, notre Humanité doit faire face à des enjeux colossaux pour pérenniser son avenir.
Parmi les êtres humains les plus exposés d’entre nous aux adversités : les Enfants.
Rappelons ici quelques mots de l’U.N.I.C.E.F. :
« Parce que les enfants sont plus vulnérables que les adultes, parce qu’ils n’ont ni droit de vote ni influence politique ou économique, parce que le développement sain des enfants est crucial pour l’avenir de toute société, le monde s’est doté en 1989 de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant (C.I.D.E.). Depuis, ce traité fondamental est le socle de toute l’action d’U.N.I.C.E.F. »
La considération des Droits fondamentaux des enfants est donc une préoccupation « récente » sur le plan international.
Malheureusement, des millions d’enfants souffrent tous les jours à travers le monde et ce constat nous brise le cœur.
Nous ne reviendrons pas ici sur le détail de toutes ces souffrances ni des atrocités que certains adultes leur font subir. Chacun se doit de s’informer et de s’inquiéter de la sécurité de chaque enfant dans son propre entourage et en permanence, ceci est une nécessité ABSOLUE !!!
C’est en ce sens que, déjà, nous ferons reculer la barbarie.
Par ailleurs, nous devons réduire les inégalités entre les pays occidentaux et les pays en voie de développement. Ce n’est qu’ainsi que nous parviendrons à améliorer la qualité de vie de ces enfants du monde qui souffrent beaucoup plus de la mortalité infantile et de mal nutrition.
Comme nous l’écrivons ailleurs, l’accès à l’énergie et aux ressources essentielles telles que l’eau ou l’alimentation, sont les enjeux les plus fondamentaux que nous devrons relever. Comment permettre une agriculture biologique et raisonnée de qualité ? Comment dépolluer les sols ? Comment participer à la dépollution de l’eau ? Voici quelques questions centrales au cœur de notre réflexion.
Très tôt, le groupe SEDIOR LIMITED a cherché à développer des partenariats en Afrique et dans les Caraïbes pour se confronter à ces enjeux. Fort de nos observations et de nos rencontres, nous souhaitons, à terme, développer nos activités dans diverses branches qui nous permettrons d’améliorer la survie et la vie de ces populations.
En un premier lieu, il nous semble impossible de dissocier « médecine naturelle » et « agriculture biologique raisonnée ». Il est un fait connu depuis l’Antiquité : l’alimentation détermine la santé des individus. Des aliments riches en nutriments assortis d’une bonne complémentation permettent de drastiquement diminuer les risques de maladies grâce aux principes actifs qu’ils contiennent.
Nous ferons donc le choix de développer la recherche au niveau agricole pour permettre la conception de nos propres compléments alimentaires avec nos propres équipes de chercheurs et un laboratoire. D’ores et déjà, nous travaillons sur un complément ralentissant le vieillissement des cellules à la fois tonifiant extrême pour le corps et le cerveau. Nous intègrerons à cette gamme un antibiotique 100% naturel et bien connu des populations locales : le H.P.C. (Huile de Pépins de Chadèques). Vendu en Europe sous le nom de E.P.P. (Extrait de Pépins de Pamplemousse), nous le produisons déjà dans les Caraïbes mais le chadèque est en réalité LE pamplemousse originel. (Précisons ici que tout ce que nous produisons ou que nous produirons sera produit dans l’idéal de l’agriculture biologique raisonnée et que nous souhaitons tendre vers une agriculture « équitable » pour permettre aux populations locales de prospérer.) Par ailleurs, nous produisons et cultivons également déjà des produits secs comme de la poudre de fèves brute de cacao, du moringa, de la cannelle, du curcuma ou encore du mucuna pruriens, du gingembre. Nous tenons à maîtriser l’ensemble de la chaîne de production de nos futurs compléments alimentaires et cosmétiques afin d’en garantir la plus grande des qualités.
Vous l’aurez compris, nous cherchons à développer un modèle agricole réplicable dans toutes les régions du monde tout en apportant des réponses concrètes à toutes les spécificités rencontrées sur les terrains. Nous parviendrons ainsi à faire triompher la permaculture sans aucun pesticide, améliorant, de surcroît, la santé des Hommes et de notre planète ! Chacun pouvant devenir autonome, la liberté de ressemer ses propres graines fertiles redevenant la norme du monde à terme.
Se redessinera alors l’équation suivante :
dépollution et raffinement des sols + apport en eau propre + liberté de cultiver ses propres espèces résistantes locales + agriculture biologique et responsable + accès à l’énergie pour maximiser les rendements.
À terme, cela permettra de réduire la malnutrition infantile, le diabète, la maladie d’Alzheimer, la maladie de Parkinson, la plupart des cancers, la malaria, le stress, autant de maux qui pourraient seront évités grâce à des gestes simples, une hygiène de vie saine associée à une consommation quotidienne d'éléments que nous retrouvons dans la médecine naturelle.
Faire prospérer les habitants des pays en voie de développement, c’est assurer à leurs enfants, un avenir meilleur. Un avenir qu’ils pourront consacrer à apprendre et étudier pour améliorer leurs sociétés de demain au lieu de travailler souvent très jeunes et dans des conditions terribles !! Cela fait résonner les mots de Victor Hugo :
« Travail mauvais qui prend l'âge tendre en sa serre,
Qui produit la richesse en créant la misère,
Qui se sert d'un enfant ainsi que d'un outil !
Progrès dont on se demande « Où va-t-il ? Que veut-il ? »
Qui brise la jeunesse en fleur ! Qui donne, en somme,
Une âme à la machine et la retire à l'homme ! »
Des mots écrits dans Les Contemplations en 1856 ! Que le temps a passé en oubliant les enfants de la moitié de notre monde !
Nous sommes tous des Enfants de cette Terre et nous sommes tous sur la même « ligne du Temps ». Nous sommes tous les héritiers de ceux qui ont été avant nous et nous serons en chacun de ceux qui viendront après nous.
Mais où est la sagesse amérindienne qui nous scande encore, à travers les siècles, que « la Terre n’est pas un don de nos parents. Ce sont nos enfants qui nous la prêtent » ?
En cela, nous devons réagir, nous ne pouvons pas sombrer dans le nihilisme et le pessimisme consumériste. Nous devons AGIR et chacun le peut ! Chaque action, chaque pensée renforce ce qui nous relie tous : notre Humanité.
Mais notre planète a été rendue malade et nous en sommes responsables. Chacun de nos choix quotidiens vient rajouter un peu plus de poison.
Nous en sommes rendus à des continents de plastiques aux carrefours des grands courants marins. Selon les chiffres de 2019, plus de 216 mille tonnes de plastiques étaient conglomérées dans les océans !!! Le plus grand de ces « gyres » flottait dans le Pacifique Nord sur une zone de 1,6 million de km2 ! Soit l’équivalent de la taille de la Mongolie !
Toute cette consommation de plastique est une menace pour l’environnement, l’équilibre et l’harmonie de la Terre et met en péril des millions de formes de vies innocentes et essentielles à notre avenir.
Une étude récente française, conduite par plusieurs océanographes, nous révèle que la chair de certains poissons pêchés au large de nos côtes, contient parfois jusqu’à 15 fibres de plastiques différents !!
Nous ne parlons même pas des milliers de méga-décharges à ciel ouvert partout dans le monde où s’amassent les milliards de tonnes de déchets des occidentaux ou de ce système hyper consumériste que l’Occident a imposé au reste du monde.
A notre modeste niveau, nous souhaitons là encore apporter notre contribution.
Nous désirons, dans un avenir proche, nous engager également dans le recyclage des déchets dits « nobles » que sont les textiles et le verre. Ils sont, selon nous, des sources inépuisables d'utilisation et de transformation. SEDIOR LIMITED s’engagera rapidement dans ce secteur, notamment en Afrique et nos équipes traqueront toute innovations qui permettra d’améliorer la situation des océans et la recapture du plastique et des particules émises.
Tous ces enjeux sont conséquents et vont nécessiter l’engagement du plus grand nombre car le colibri de la fable, bien qu’il fasse « sa part » meurt d’épuisement à la fin du conte.
Nous devons bien cela à nos Enfants et pour peu que l’Amour ait un Sens, nous le trouverons dans l’Empathie. Pensons à ceux à qui nous empruntons notre Terre et œuvrons à quitter ce merveilleux « petit point bleu pâle perdu dans l’Univers » dans un meilleur état que nous ne l’avons trouvé en arrivant.